Coaching Parental : devenir propre. Tout d’abord, un point important, à propos de l’acquisition de la propreté, aujourd’hui, on parle plus de tempérance. En effet, un enfant ne naît pas sale, il naît juste sans savoir contrôler son sphincter.

Par conséquent, le terme « propreté » est incorrect mais encore largement utilisé. C’est pourquoi j’utilise « clean get », mais je pense qu’il est important de vous l’expliquer.

Coaching Parental : comment l’aider à devenir propre

Premièrement, malgré tout ce que votre entourage vous dira, le nettoyage est avant tout un apprentissage mental et physique.

L’enfant selon certaines expert en parentalité et éducation positive a Lyon, doit vraiment apprendre à contrôler sa vessie et son sphincter. pas facile. Surtout si ce n’est pas lui qui prend les décisions.

En fait, à l’approche de la nouvelle année scolaire, nous avons tendance à accorder plus d’attention à nos calendriers qu’à nos enfants. Notez cependant que les enfants peuvent s’inscrire à 2,5 et 3,5 ans.

Coaching Parental : L’entraînement au pot est-il un entraînement physique ou un timing ?

Des clones d’enfants qui doivent être propres le 2 septembre ? Sont-ils autorisés à marcher à différents âges mais pas à gérer leur sphincter à différents âges ?

Alors on oublie l’entourage, on va jusqu’au bout, ce qui est essentiel. Parce que plus on le « force », moins ça marche !

Coaching Parental : Quelles sont les étapes à suivre pour cela ?

Premièrement, l’observation sera votre meilleure alliée. Combien d’heures sa couche restera-t-elle sèche ? C’est ainsi qu’il a réussi à contrôler son sphincter.

Ensuite, s’il vient vous voir quand la couche est pleine, il comprendra et sentira ce qui se passe.

Sait-il se déshabiller ? Peut-il faire des demandes simples (ex : je veux de l’eau)

Enfin, a-t-il un « intérêt » pour le pot ou les toilettes ?

Cela peut arriver très rapidement si votre enfant est prêt physiquement et mentalement. Au moins le nettoyage de jour, les nettoyages de nuit sont généralement obtenus plus tard.

En fait, cela peut prendre du temps pour devenir propre, mais cela prendra plus de temps si vous forcez votre enfant.

Comment favoriser les clics propreté ?

Surtout, prenez le temps de lui parler. Dites-lui que vous allez aux toilettes et expliquez-lui ce qu’est le pipi et le caca. Oui, pour certains enfants, il n’est pas si facile de se « séparer » d’une partie d’eux-mêmes. Alors on s’est expliqué : « Notre corps ne gardera que ce qui est bon pour lui, et pour d’autres choses, il le rejettera. C’est pour ça que pipi, boogers et merde, on peut lâcher prise sur notre corps.

A partir du moment où vous commencez, pas de combinaisons, de bodys ou d’autres vêtements qui nécessitent votre intervention. Surtout, n’oubliez pas de laisser la porte de la salle de bain ouverte pour qu’il puisse y aller seul.

Bien sûr, il n’y a pas de pot au milieu du salon et l’enfant a droit à l’intimité.

Vous pouvez lui fournir un pot, comme avant un changement de couche ou avant un bain.

Il n’est pas attirant pour le pot ? C’est peut-être parce que personne d’autre dans la famille n’utilise cette chose bizarre. Faites au préalable des jeux avec son doudou ou sa poupée pour le familiariser avec l’objet.

Attention à ne pas le laisser agir pendant des heures. Inutile de lui demander 36 fois par jour, sinon vous gérez son sphincter, pas lui.

C’est son corps, ses besoins, ses tripes, ne l’oubliez pas. Il doit comprendre ce nouveau sentiment et y répondre en allant au petit pot !

Que faire si l’apprentissage de la propreté est difficile pour votre enfant ?

Pour certains enfants, une série de surprises s’ensuit. Dans ces cas-là, n’en faites pas tout un plat et offrez-lui une couche, il n’y a pas de honte à en avoir une.

Comme pour beaucoup d’autres thèmes, concentrez-vous davantage sur ses succès que sur ses surprises.

Respectez son rythme et les enfants de 2 à 4 ans auront un sentiment de propreté. C’est le jour et la nuit avant la nuit et pas de soucis jusqu’à 7 ans.

Choses à éviter ?

On oublie le chantage avec des cadeaux, des bonbons… et on ne pisse pas sur les camions.

En revanche, comme toutes acquisitions, vous pouvez féliciter votre enfant, danser de joie, acheter des culottes Spider-Man ou Frozen pour marquer la transition entre les couches et les culottes, mais c’est à peu près tout.

Pas besoin de lui donner un camion ou un livre pour « l’accompagner » aux toilettes, il doit se concentrer sur ce qui se passe dans sa vessie, pas sur les pages qui défilent

Bien sûr, on évitait les réprimandes et « t’es sale, t’es sale, t’es sale », bref, tout ce qui pouvait le faire tomber.

Nous respectons sa vie privée et n’avons pas besoin de publier des photos de son « premier pipi » sur les réseaux sociaux ou de parler de son premier caca au dîner de Noël.

Lorsque l’apprentissage de la propreté commence, de nombreux enfants se cachent pour aller à la selle. regarder ? proche!

Et si ça recule ?

N’oubliez pas que grandir, c’est aussi renoncer aux soins des parents qui ont pris soin avec amour du nouveau-né.

Alors de temps en temps, on régresse, surtout quand un petit frère ou une petite sœur arrive et qu’on a envie de porter des couches et de prendre un biberon.

Alors acceptez cette période de réconfort, profitez de cette période et dites-lui les avantages de grandir.

Au final, faites-lui confiance, l’acquisition du contrôle sphinctérien fait autant partie du développement moteur de l’enfant que l’acquisition de la marche, alors surveillez-le, écoutez-le et mettez de côté les commentaires de votre enfant. Il y a souvent beaucoup d’entourage sur cette question.

en conclusion

Au final, faites-lui confiance, l’acquisition du contrôle sphinctérien fait autant partie du développement moteur de l’enfant que l’acquisition de la marche.

Alors, regardez-le, écoutez-le, et mettez de côté les commentaires de votre entourage.