Coaching Parental : parent préféré. Votre bébé préfère son papa, il vous fait des crises de colère, il s’énerve contre vous, cela vous fait vous poser mille questions : « Suis-je une bonne maman ? Pourquoi je lui cuisine des brocolis à midi ? » Je suis là, pourquoi lui a-t-il sauté dans les bras ?… »
Coaching Parental : Comment faire ?
Alors, d’abord, on respire, on souffle, et on recommence… et surtout, on n’arrête pas de paniquer. Connaissez-vous la théorie de l’attachement ? Votre enfant a besoin d’être entouré des « bonnes personnes » dont il a besoin pour survivre. Autrefois, on disait souvent que les mères avaient ce rôle, aujourd’hui, les pères prennent de plus en plus d’importance dans l’éducation des enfants, il est scientifiquement prouvé que les enfants peuvent effectivement avoir plusieurs objets d’attachement. Bonne nouvelle, n’est-ce pas ? Alors le fait que votre enfant se tourne vers son père signifie qu’il le voit comme quelqu’un qui prend soin de lui, et pour cela il va adopter des comportements et des manières de tisser « communicatifs » et afin de renforcer ce lien, il va faire le tour Appeler « Papa » après lui, courir autour de lui, l’emmener jouer à des jeux… Habituellement, ce lien avec la mère s’établit dans les premiers mois (maternité, allaitement, co-sommeil…) Ainsi, l’enfant Il est selon certaines expert en parentalité et éducation positive a Lyon, possible de rompre ce lien indéfectible et d’en tisser un autre avec le père.
Pourquoi est-ce son parent préféré ?
De plus, les enfants vont souvent voir le parent qui est le moins optimiste à son sujet : « Mais bien sûr, c’est une bonne idée de se battre à 20h », tu sais ? La situation n’est pas meilleure que d’être un parent ostracisé, ni d’être un parent aimant. C’est donc à vous de faire le point. L’éducation et l’affection doivent venir des deux parents, donc les deux doivent « partager » l’autorité. Il n’y a pas de gentil ou de méchant, juste deux personnes qui apportent quelque chose de différent à un enfant. Surtout, ne blâmez pas votre enfant, laissez-le tisser le lien, surtout quand il revient vers vous, ne lui dites pas « tu ne me feras plus jamais de câlins »
en conclusion
Cette histoire de parent préférée vous inquiète-t-elle toujours ?